Du colza dans l’Eure avec Farmi.
Jean-Jacques Mascrier, céréalier dans l’Eure, utilise Farmi depuis près de deux ans. Cette application déployée en 2017 par Soufflet Agriculture lui permet de consulter les cours en temps réel et de saisir les meilleures opportunités.
C’est au Vieil-Evreux, dans l’Eure, que Jean-Jacques Mascrier cultive du blé, du colza, de l’escourgeon ainsi que du lin sur 228 hectares depuis 1989. En 2020, il change sa façon de travailler en utilisant Farmi et en devenant plus autonome dans la commercialisation de ses récoltes.
POUVOIR VENDRE EN QUELQUES CLICS
« La semaine dernière, j’ai passé trois contrats en moins de 10 minutes », retrace Jean-Jacques Mascrier. Des transactions rapidement réalisées tout en restant sécurisées. Lorsqu’il décide de vendre, l’agriculteur reçoit par message un code à quatre chiffres à renseigner sur l’application pour valider la transaction. Frédéric Pontonnier, son Agent Relation Culture (ARC) confirme la transaction le lendemain, l’occasion pour lui de s’assurer qu’il n’y a pas eu d’erreur. Cette double sécurité permet la réalisation de contrats en quelques clics tout en garantissant une sécurité optimale pour l’utilisateur.
DES VENTES REALISEES EN TOUTES CIRCONSTANCES
La flexibilité de Farmi l’a amené à des situations pour le moins inédites : en vacances aux sports d’hiver en février 2020, Jean-Jacques Mascrier consulte par curiosité les cours sur l’application avec son smartphone. Voyant que les cours ont augmenté au point de dépasser ses objectifs de vente, il décide de signer plusieurs contrats en l’espace de quelques minutes. « Je n’aurais jamais pensé appeler mon ARC pour connaître les cours à ce moment-là. Sans Farmi, j’aurais raté cette opportunité », confie l’agriculteur. L’application lui offre une meilleure réactivité, précieuse lorsque l’on sait à quel point les cours peuvent fluctuer rapidement.
UNE RELATION AVEC L’ARC PLUS APPROFONDIE
Pour Frédéric Pontonnier, sa relation avec Jean-Jacques Mascrier ne s’est pas dégradée avec Farmi, bien au contraire. L’agriculteur étant plus autonome sur le volet vente, l’ARC peut désormais consacrer plus de temps pour des problématiques techniques. « On discute toujours des ventes une fois qu’elles sont réalisées mais c’est vrai que ça me libère beaucoup de temps que je peux désormais consacrer à des demandes techniques », relève Frédéric Pontonnier.